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L'entrée
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Finalement, Chûya était parti une fois que la cloche eut sonnée. Elle qui allait prêter une oreille attentive à monsieur, il avait changé d'avis? La patience ne devait pas être un terme bien connu de ce garçon. Ludmilla avait esquissé un sourire, amusée, et avait prit le temps de converser un instant avec l'enseignant avant de quitter la salle de classe à son tour. Quelques de ses camarades venaient la quérir, elle passa donc son après midi avec ceux-ci. Une fois toutes ses tâches accomplies, elle s'autorisait un peu de temps avec deux de ses amies. Toutes trois conversaient sagement jusqu'à l'entrée de l'école:
- Tient, c'est pas le garçon qui voulait te parler et qui s'est défilé au dernier moment? pouffa la brune.
La déléguée réprimandait aussi sec son amie, qui haussait les épaules. Leur sujet de conversation changeait aussitôt, et dérivait sur une nouvelle boutique qui fêterait son ouverture prochaine en ville.
- On pourrait s'acheter des broches assorties? J'en ai vu une bleue qui t'irait à merveille!, s'exclamait la rousse. Le bleu te sied si bien!
Il marchait dans leur direction sans même le savoir, quand il leva les yeux, il l'a vu, alors un sourire narquois apparut sur son visage. Il avait une idée. Une fois que les jeunes filles furent passées devant lui, il lui jette un boule-de-neige qui lui atterrit en pleine tête '' Je trouve que le blanc lui va à ravir '' Il lâche un petit rire moqueur en regardant la jeune fille.
(theme)
Ludmilla n'ayant pas été particulièrement absorbée par la conversation de ses amies, aurait pu esquiver la boule de neige sans mal. Cependant, la recevoir était plus intéressant. Sa camarade brune se tournait soudainement vers l'auteur de cet acte inattendu:
- Oh mais quel rustre!
La rousse ajoutait:
- Il aurait au moins pu viser autre chose que la tête, ça c'était méchant et puéril.
La déléguée avait gardé le silence. Ses deux amies, inquiète, l'auraient aidée si elle n'avait pas refusé. Quelques rares témoins de la scène s'était offusqués mais gardaient leurs distances. Une fois débarrassée de la neige, Ludmilla planta son regard dans celui du garçon:
- Je te prierais de ne pas recommencer, demandait-elle simplement en réajustant le col de sa veste. Ce genre de comportement est prohibé ici, précisa-t-elle ensuite en dégageant le reste de neige de ses fines épaules.
- Si ses fans apprenaient que c'est un violent, je me demande comment elles réagiraient... fit l'une des filles, visiblement déçue. Moi qui avait acheté plusieurs de ses magasines pour une amie, je regrette.
- Elle ferait mieux d'arrêter de lire ce genre de stupidités, grincha la deuxième.
Ludmilla passa entre ses deux camarades pour avancer un peu dans la direction de Chûya:
- Peut être souhaitais-tu attirer mon attention? Voilà qui est fait. Avais-tu quelque chose à me dire? Ou, sans doute préfères-tu faire étalage de ta puissance en t'en prenant à d'autres élèves sans raison? le questionna-t-elle en arborant un sourire satisfait.
S'il continuait de s'enfoncer tout seul dans la mélasse, ça l'arrangeait bien. Mais, ce serait dommage..
Le jeune les regardait de haut, il se moquait bien qu'il le dise à ses fans, cette carrière commençait à le soûler plus que tout, depuis sa tendre enfance, il faisait cela. '' Qu'attends-tu ? Dépêches toi d'aller lui dire ? Toi qui aimes tant faire le toutou ou plutôt... Le mouton ? '' Il rit avant de se rapprocher d'un pas vers la demoiselle. '' Hm... J'aurais besoin de te parler mais puisque ma demoiselle est bien trop occupée à jouer la peste '' Il soupire en croisant les bras. Ça ne l'enfonçait absolument pas.
La jeune déléguée prit une mine faussement interrogatrice. Mouton? Si c'est de cette façon qu'il voyait quelqu'un de civiliser, soit. Elle serait... un mouton. Il semblait si capricieux, sûr de ce qu'il faisait. Mais avait-il seulement conscience que son comportement était similaire à celui de ces petites racailles de bac à sable? Sans foi ni loi, entêté, qui s'imaginent que le monde est a leurs pieds alors qu'il se trouve au dessus de leur misérables corps d'insecte. De petits vermiceaux a qui ont laisse leur petite sucette non pas parce qu'ils auront fait un caprice, mais simplement pour ne pas leur faire de peine. C'est vrai... ils peuvent chouiner et se dire qu'ils ont gagné puisqu'ils ont eut ce qu'ils voulaient, mais la vérité est toute autre. Ils dépendent des autres. Sans eux ils n'y aurait personne pour céder. Et sans personne pour céder à leurs caprices ils ne sont rien. Des bons a rien. Ludmilla, dans un élan de bonté -ou plutôt par pitié- acceptait donc d'essayer de le contenter en entrant dans son petit jeu d'enfant gâté.
- Peste? Allons bon, qu'ais je bien pu faire pour mériter ce surnom? N'est ce pas toi qui vient de me lancer une boule de neige en plein visage alors que je ne t'ai rien fais? Et, je croyais que j'étais un mouton?, fit-elle sur un ton innocent. Mais je suis à l'écoute, que voulais-tu me dire de si important?
Il soupire en entendent la jeune fille parler '' Tu te trompes, j'parlais de ta pote, un vraie mouton '' Il ricane un peu '' Tu ne voudrais pas t'éloigner de tes copines ? Et puis elles se ne semblent pas du même rang que toi. J'aimerai te parler en privé '' Son regard se dirige vers les deux autres filles
La brune et la rousse tiquaient à la remarque. L'une allait intervenir mais Ludmilla la coupait en plein élan:
- Je vous rejoindrais plus tard, rentrez sans moi.
Les deux filles acquiesçaient, peu sûres.
- Fais attention à toi.
- On est pas à l'abris d'une boule de neige, fit remarquer l'autre.
Une fois ses camarades parties, la déléguée eut un léger rire:
- La bibliothèque est fermée, la cour compte encore nombre d'étudiants qui comptent bien profiter du temps neigeux encore un moment. Peut être pourrions-nous discuter sur le toit, mais, il fait assez froid.
Elle fit mine de réfléchir quelques instants, indécise:
- Je te laisse décider, je te suis, choisit-elle finalement en lui indiquant qu'elle le laissait passer devant.
Il s'assurait que les deux jeunes filles étaient parties. '' ça ne sert à rien, ça ne durera pas longtemps '' Il va s'asseoir sur un banc après y avoir enlevé la neige pour qu'elle s'y assoit aussi '' Comme tu as pu le remarquer, je n'aime plus autant poser, et toutes ces fans qui me courent derrière à longueur de journée. J'aimerais, que tu te fasses passer pour ma petite amie, histoire qu'elles me lâchent, je t'ai choisis toi, comme je sais que tu n'éprouves pas de sentiments pour moi, je me dis donc que je peux te faire confiance ? C'est tellement bizarre de dire ça '' Il se tape la paume de main au front
Ludmilla ne cacha pas sa surprise à la demande de Chûya. En effet. Elle avait bien deviné qu'il cachait quelque chose, mais ça? C'était un joli tour. Pour la peine, elle prit le temps d'y réfléchir.
- As tu consciences de ce que tu me demande? Je n'aime pas mentir.
Elle qui pour le moment s'attise l'admiration de ses camarades, elle risquait aussi de s'attirer les foudres des fans du garçon. Quoique, beaucoup d'entre ces filles pourraient aussi parfaitement la faire grimper dans leur estime. Ces commères, même emplie de jalousie, ne peuvent s'empêcher d'apprécier les histoires à l'eau de rose. Les romances de couples parfais. Particulièrement amusée, la déléguée porta sa main à ses lèvres, à la façon des mondaines, pour dissimuler un peu son rire.
- Mais, je dois admettre que ce serait intéressant. Qu'aurais-je à y gagner? demanda-t-elle en ayant une idée bien particulière à l'esprit. Sais-tu ce que ça impliquerait, de faire semblant?
Il la regarde de haut, d'un air un peu moqueur '' Tu n'aimes pas mentir, sauf quand cela t'arranges. Tu y gagnera la gloire d'être sorti avec moi ? Enfin, ça c'est ce que vont pensé les autres filles. Mais si tu as d'autres choses à proposé, dis le moi ''
- Allons bon, reprit-elle aussitôt. Tu m'insultes. Je ne me permettrais pas de porter préjudice à mes camarades ou mes professeurs, ajouta-t-elle dans un sourire.
La gloire d'être sortie avec un nabot capricieux? Décidément, il ne manquait pas d'humour. Ludmilla se dit qu'user de ses quelques capacités ne serait pas de trop pour lui faire se rendre compte de ce que "se servir d'elle" impliquerait. Elle posa sagement son cartable a ses pieds et gardait les mains posées sur sa jupe. Son regard se perdait plus loin dans la cour.
- Vois-tu, je n'aime pas beaucoup les plats d'ici. Les boissons en revanche... enfin. Je ne me vois pas débourser pour ce genre de futilités et je m'en prive pour des choses plus importantes. J'aimerais donc qu'en bon.., fit-elle faussement hésitante, petit ami, tu te montre avenant. De cette façon, ça rajoutera un peu de crédibilité a cette histoire.
Avant qu'il ne lui réponde, elle précisa, tout en usant de son don pour lui offrir une vision différente de ce qui se passait en réalité. Du point de vue de Chûya, elle venait de planter son regard dans le sien en posant une main sur sa cuisse, et en arborant une expression plus à son goût.
- Ce n'est pas tout. Il y a autre chose, aussi, qui me plairait.
Les lèvres de la déléguées se rapprochaient de l'oreille du blond tendis que sa main remontait légèrement sur sa cuisse. Le geste étant suffisamment suggestif, elle effaça cette vision de son esprit. S'il restait de marbre face à ça, alors il ne l'intéresserait probablement pas.
- Dans cette école ils n'apprécient pas les relations publics... approfondie. Elle insistait volontairement sur le dernier mot. Un simple baiser les ennuies un peu mais pour les plus hautes classes ils laissent faire, puisqu'il jugent les adolescent majeurs responsables d'eux-même à ce propos. Si nous ne faisons rien, nos camarades et tes fans douteront. J'aime le théâtre. Alors si nous devons jouer la comédie, autant le faire réellement, hm?
De cette façon, il prendrait plus conscience de ce qu'il lui demandait. Restait à savoir s'il se défilerait, ou s'il allait quand même prendre le risque. Ludmilla jugea bon d'insister sur une chose malgré ses quelques provocations:
- Oh, bien sûr, rien de trop... poussé. N'exagérons rien. Je parle simplement de niaiseries de bas étage.
Il hausse les sourcils en entendent la jeune fille lui parler autant, il avait l'impression de ne plus la reconnaître dans ce qu'elle disait. '' Je ferais n'importe quoi pour pouvoir me débarrasser des filles qui me courent après '' Il recule d'un pas en voyant ses lèvres se rapprocher de son oreille '' Hmm... Ce qui risque d'être chiant, c'est sûrement le fait que je ne supporte pas être collé, mais je vais essayer de faire un effort, histoire qu'elles y croient ''
Comme il avait reculé alors qu'elle n'avait pas bougé de sa place, elle retint un énième rire.
- Je te rassure, je n'ai pas l'intention de te coller, ou de négliger mes amis en passant mon temps libre avec toi uniquement.
A ces mots, elle se relevait et reprenait son cartable.
- Je te laisserais faire ta déclaration lorsque nous aurons notre cour d'éducation physique sportive la semaine prochaine. Comme deux à trois classe se trouvent dans le gymnase à ce moment là, la nouvelle se répandra bien plus vite.
Elle s'éloignais de quelques pas mais s'arrêtais, se rappelant un détail. Ce qu'elle gagnerait en échange de se service serait du divertissement, donc elle ne lui ferait pas de cadeaux tant que leur "marché" serait valable:
- Oh, c'est vrai. Nous nous rapprochons de la saint valentin. J'espère que tu ne t'étoufferas pas avec mes chocolats. Et daigne me faire un présent acceptable.
Pour finir, elle le salua d'un vague geste de la main avant de reprendre le chemin vers les dortoirs. Elle y retrouverait ses amies et bien entendu, elle se gardera de leur expliquer ce que lui voulait le garçon.
Il savait qu'il pouvait lui faire confiance sur le coup puisqu'elle voulait quelque chose en échange, il se retint même de grogner au moment où elle lui dit qu'il devra le déclarer en plein cours, il espérait qu'elle savait jouer la jeune fille gênée à la perfection derrière son air. C'était typiquement le genre de personne qui l'énervait plus que tout, mais il devait s'en contenter
(Yellow everybody!)
Kira arriva, sa valise à la main, nerveuse, elle regarda l'entrée de l'école. Il y avait tellement de gens. Elle ne voulait pas que tout le monde la fixe arriver, alors elle fit mine de rebrousser chemin, espérant que personne ne l'ait vue.
Le jeune Ayato revenait du centre-ville, il écoutait de la musique à l'aide d'écouteurs afin que personne d'autre ne l'entende, il ne faisait pas réellement attention à ce qui l'entourait, même quand il traversait, il semblait un peu dans les nuages et ne prêtait pas attention aux voitures qui devaient freiner brusquement à chaque fois, ils avaient beau klaxonné, ils ne les entendaient pas puisqu'ils malgré qu'il se sentait discret, le son qui était à fond dans ses écouteurs se faisait entendre à travers, du métal. Alors qu'il finissait de traverser une route, il manque de créer un accident et en plus de ça, il bouscule la jeune fille qui faisait mine de retracer son chemin, il s'était arrêté avant de tourner les talons pour ce retourné, les mains dans les poches, il la regarde de haut. '' Tu ne peux pas faire attention avec ta valise ? ''
"P-pardon..." Bégaya Kira sans le regarder dans les yeux, tentant de cacher ses larmes, et de partir en vitesse. Ses jambes tremblaient, elle ne voulait surtout pas que quelqu'un la remarque. Mais en plus de foncer dans un gars! Qu'est-ce qui clochait avec elle?
Il avait penché légèrement la tête sur le côté en remarquant la sensibilité que faisait preuve la jeune fille devant lui, il n'aurait pas pensé la faire pleurer. Elle semblait sortir d'ailleurs de l'académie, soit elle avait été virée ou bien elle n'était qu'une pauvre petite nouvelle qui ne voulait pas se faire remarquer. Il y avait réfléchi longuement, devait-il s'excuser ? Il est vrai qu'elle lui faisait un peu pitié d'avoir une telle fragilité, mais beaucoup d'humaine le sont, après tout, elles se ressemblent toutes... Enfin, pour lui, mais seulement, est-elle humaine ? Une autre question s'ajoutait dans ses pensées. Il l'avait regardé longuement partir au loin sans vraiment réagir, il était pris entre plusieurs autres questions et quelques regrets comme le fait qu'il venait d'une bousculer cette étrange fille. '' Étrange '' se dit-il simplement à voix haute en sortant l'une de ses mains de sa poche pour se gratter la nuque et se retourner afin de rentrer dans l'académie.
Si elle ne voulait pas se faire remarquer, pourquoi ne pouvait-elle pas passer par derrière, il y avait sûrement une porte de derrière, non? Après tout, ses parents adoptifs n'aimeraient pas qu'elle rentre à la maison bredouille. Non, je ne veux pas être punie et je ne voudrais pas les décevoir... Songea-t-elle, nerveuse. Kira décida donc de faire le tour du bâtiment pour voir si il n'y avais pas une autre porte à l'arrière. C'est vrai que le garçon, qu'elle avait bousculée, était mignon. Peut-être que les prochains jours, elle pourrait l'observer en cachette comme elle l'a toujours fait avec les autres garçons qu'elle trouvait mignon. Elle serra la poignée de sa valise plus fortement, espérant ne rencontrer personne. De l'autre main, elle tenait la cage de son chat Jacob. Après sa rencontre avec le/la directeur/trice, elle devait l’emmener chez le véto. En espérant que ce gars n'était pas allergique aux chats... Songea-t-elle.
Cette fois-ci, la jeune Kira était tombée face à une fille aux cheveux roses qui venait de lui barrer la route, elle tenait un cahier d'une main, sur celui-ci était marqué Ai, ça devait être sûrement le prénom de celle-ci. De l'autre main elle tenait une sucette qu'elle venait de sortir de sa bouche afin de lui parler. '' Oh... Mais que voilà ? Une jeune brebis perdue dans un champ de créature ! Et à qui fait-elle face maintenant ? Hein ? Hein ? À un loup ! '' Elle lâcha un rire en se permettant de lui tourner au tour tel un vautour en se rapprochant de plus en plus d'elle avant de lui coller sa sucette dans les cheveux toujours en ricanant, elle en profite même de l'avoir distraite avec une sucette pour lui retirer ses lunettes et levée la main pour ne pas qu'elle les attrape au cas où. '' A ton avis, si je les revends, combien peuvent-elles coûter ? Qu'elle question idiote ! Laisse moi voir... 5 euro ? Nooon... ça ne vaux absolument rien ! '' Elle s'était tordue de rire, décidément, Kira n'avait pas beaucoup de chance.
Kira baissa le regard. Mais elle ne pouvait rien faire. Si elle se transformait, elle pourrait tuer cette fille et aller en prison. Mais son instinct animal prit le dessus malgré elle, ses bois apparurent et elle grandit en se transformant elle était un peu plus grande qu'Ai. Elle attrapa ses lunettes, évita de regarder la "petite peste". Et s'éloigna, un peu nerveuse. Elle allait être en retard! Kira se grouilla un peu. En ayant trouvé une porte à l'arrière, elle entra et se "dé-transforma." Jacob cracha. "Je sais... Moi non plus je n'aime pas cette fille." Murmura-t-elle.
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.:RPG:. Snow red.
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Une fois sorti de classe, il se met à courir à travers les couloirs pour échappés aux jeunes filles qui lui courraient après, c'est le rêve de certains garçons, mais lui... Ça le gavait plus que tout. Il trouve cette fois comme refuge sa chambre. Une fois qu'elles sont toutes partie, il sort du bâtiment de l'internat et se rend à l'entrée. Comme il neigeait, il fit une boule dans ses mains, ne sachant que faire. Il regardait ensuite au tour de lui, s'il n'avait personne à embêter.